Abans de Nadal. ens va eixir al nostre blog i gràcies a Google, una noticia del diari del sud de França "Midi Libre" del centenari d'una dona que...VA NÉIXER A POTRIES EN 1913! "Increïble", un potrier més dels moltissims que emigraren...El periòdic francès deia el següent:
Vacquières fête les 100 ans de Carmen Jeanjean , la première centenaire du village village
Midi
Libre
21/12/2013,
19 h 00
Toutes les générations étaient
représentées , mardi soir , dans la salle communale lors de la cérémonie
organisée par la municipalité .
Vacquières
Une cérémonie chaleureuse, empreinte d'émotion, de tendresse et de convivialité. Pour Carmen, la fête avait débuté le matin avec un groupe d'amis intimes venus chez elle, les bras chargés de fleurs et de cadeaux, lui souhaiter bon anniversaire et lui rappeler toute l'affection qu'ils avaient pour elle.
Et le soir, c'est au bras de Mme le maire que la reine de la soirée, toute menue, pimpante et souriante, faisait son entrée dans la salle communale. Là, l'attendaient de nombreux parents, amis et élus. Après les mots de bienvenue, les embrassades, les félicitations à la reine de la soirée, Denise Gomez exprimait la joie qu'elle avait de mettre à l'honneur cette centenaire qui, malgré une apparente fragilité, avait beaucoup de courage et de volonté. Au côté de Christian Jean, le conseiller général, et de Max, le fils de Carmen, elle faisait une brève rétrospective de sa vie.
Née en Espagne, à Potries, près de Valence, le 19 décembre 1913, Carmenette (comme tous l'appellent affectueusement), est venue en France à l'âge de 7 ans et c'est à Vacquières qu'elle a connu Augustin Jeanjean. En 1935, il lui passait la bague au doigt.
De cette union, est né un seul fils, Max. Toutefois, le couple, pour des raisons professionnelles, est parti à Montpellier où tous deux tenaient commerces. Et en 1979, à l'âge de la retraite, ils reviennent à Vacquières. De 1983 à 1989, Carmen fait partie du conseil municipal. Veuve en 1991, elle continue de s'investir dans le village où elle s'occupe des bacs à fleurs, fleurs qu'elle bichonne également dans son jardin. Denise Gomez souhaitait à notre centenaire encore de belles années dans ce petit village qu'elle affectionne tant. D'ailleurs, au début de la nouvelle année, un arbre sera planté en son honneur. Ce sera l'arbre de Carmenette.
Trop émue pour prendre la parole, Carmen donnait le relais à son fils qui exprimait sa reconnaissance à tous ceux qui témoignaient si chaleureusement tant d'affection à sa maman. Très entourée, elle reste chez elle, dans sa maison et dans son jardin, qui est un peu son royaume. Elle cultive des fleurs qui font l'admiration des passants. C'est sous les applaudissements du public que Carmenette, malgré l'émotion, soufflait les bougies de son gâteau d'anniversaire et tous levait le verre à la santé de cette jolie reine.
Une cérémonie chaleureuse, empreinte d'émotion, de tendresse et de convivialité. Pour Carmen, la fête avait débuté le matin avec un groupe d'amis intimes venus chez elle, les bras chargés de fleurs et de cadeaux, lui souhaiter bon anniversaire et lui rappeler toute l'affection qu'ils avaient pour elle.
Et le soir, c'est au bras de Mme le maire que la reine de la soirée, toute menue, pimpante et souriante, faisait son entrée dans la salle communale. Là, l'attendaient de nombreux parents, amis et élus. Après les mots de bienvenue, les embrassades, les félicitations à la reine de la soirée, Denise Gomez exprimait la joie qu'elle avait de mettre à l'honneur cette centenaire qui, malgré une apparente fragilité, avait beaucoup de courage et de volonté. Au côté de Christian Jean, le conseiller général, et de Max, le fils de Carmen, elle faisait une brève rétrospective de sa vie.
Née en Espagne, à Potries, près de Valence, le 19 décembre 1913, Carmenette (comme tous l'appellent affectueusement), est venue en France à l'âge de 7 ans et c'est à Vacquières qu'elle a connu Augustin Jeanjean. En 1935, il lui passait la bague au doigt.
De cette union, est né un seul fils, Max. Toutefois, le couple, pour des raisons professionnelles, est parti à Montpellier où tous deux tenaient commerces. Et en 1979, à l'âge de la retraite, ils reviennent à Vacquières. De 1983 à 1989, Carmen fait partie du conseil municipal. Veuve en 1991, elle continue de s'investir dans le village où elle s'occupe des bacs à fleurs, fleurs qu'elle bichonne également dans son jardin. Denise Gomez souhaitait à notre centenaire encore de belles années dans ce petit village qu'elle affectionne tant. D'ailleurs, au début de la nouvelle année, un arbre sera planté en son honneur. Ce sera l'arbre de Carmenette.
Trop émue pour prendre la parole, Carmen donnait le relais à son fils qui exprimait sa reconnaissance à tous ceux qui témoignaient si chaleureusement tant d'affection à sa maman. Très entourée, elle reste chez elle, dans sa maison et dans son jardin, qui est un peu son royaume. Elle cultive des fleurs qui font l'admiration des passants. C'est sous les applaudissements du public que Carmenette, malgré l'émotion, soufflait les bougies de son gâteau d'anniversaire et tous levait le verre à la santé de cette jolie reine.
Hem contactat amb alguns amics de Potries per saber quí és Carmen i també amb el diari per fer-li arribar la salutació del seu poble natal. Si coneixeu alguna cosa sobre la procedència de Carmenette... La dificultat radica en que ella perd el seu cognom per agafar el del seu marit.
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